Evalore Andraste [Fiche terminée]

Evalore Andraste
Fiche d'identité

Evalore Andraste [Fiche terminée] 148255de6a07bffa771c5ab02509a

Nom : Andraste

Prénom : Evalore

Surnom : Eva, Eve

Sexe :Féminin

Âge : 21ans

Statut : Célibataire

Race (si race inventée, à développer): Isvienne

Sexualité : Elle n'en sait que trop rien, mais ne ressent pas de préférence que ce soit pour les hommes ou pour les femmes.

Taille : 1m80

Pays/Région/Ville d'origine(s) : Un petit village quelque part dans les plaines d'Arklanne, en Almarie.

Titre/Métier : Evalore rêve de devenir une véritable mercenaire comme son père, mais n'arrivant pas encore à vivre de cette activité elle s'est faite embauchée comme serveuse dans une taverne du centre ville d'Almare.

Domicile : Un petit appartement au cœur de la cité d'Almare

Descriptions

Description physique :
Aorton Maelis, Béorc, 37 ans. Soldat de métier, ivrogne occasionnellement.

*La dernière des dernières, il commence à se fait tard.*

Aorton reposa sa choppe et leva la main afin d'acquérir cette dernière des dernières tant convoitée, qui soit dit en passant de manquerai pas d'achever son état déjà un peu médiocre. Il ne leva même pas les yeux quand la serveuse s'approcha de lui avec un sourire engageant.

- Une hmgrmhouhmm..liqueurmm.poirembmmhh. Si'ouplait mamzelle.
- Je vous apporte ça de suite Monsieur !

Il ouvrit grand les yeux et leva la tête vers elle. Elle le regarda quelques secondes en souriant et repartit ensuite en direction du bar, laissant béat le brave homme qui ne cessa alors de la fixer. Cette voix, cette voix cristalline et enfantine l'avait sortit de sa torpeur. Elle était … différente. Très belle et en même temps... Une aura étrange flottait autour d'elle. Il frissonna. Elle lui rappelait sa propre fille.
De longs cheveux flamboyants glissaient et battaient ses hanches en même temps qu'elle marchait. Ils étaient rouges aux reflets orangés et rosés, lisses et fins comme des fils de soie. Cette crinière de feu encadrait un visage jovial aux traits doux et enfantins. La demoiselle possédait d'immenses yeux verts pétillants qui semblaient rire continuellement et volaient sans cesse de droite à gauche, regardant tout mais ne se fixant sur rien. Son nez était sculpté finement et formait une petite pointe sur ce doux visage à la peau blanche. Sa bouche semblait attirante et ses fines lèvres sucrées comme le miel riaient souvent de plaisanteries d'ivrognes ou de gens de passage. Ce doux visage était porté par un cou fin à la peau tout aussi blanche, puis par un corps qui lui paru plutôt bien dessiné. Assez grande et élancée, ses bras étaient fins et ses jambes fuselées. Des formes cependant se dessinaient sous ses vêtements noirs, laissant deviner une femme pulpeuse et pas maigre pour un clou. Aorton plissa les yeux quand, à force de la détailler, il nota un détail qu'il n'avait pas remarqué jusqu'alors : D'autres formes semblaient saillir par dessous ses vêtements... Notamment ses bras et ses jambes... elle était... musclée ? C'est le premier mot qui lui vint à l'esprit. Puis il pensa à « entraînée ».
Il frissonna. Malgré son apparence douce et frêle, il présentait autre choses chez elle, quelque chose qui lui disait que si cette fille était dans son élément dans cet endroit d'ivrogne, c'est qu'elle savait se faire respecter. Elle était beaucoup plus que l'apparence qu'elle voulait bien donner, il en était certain. Cette fille... ressemblait au poison. Une apparence inoffensive qui cachait une machine de guerre.
Elle se dirigea à nouveau vers lui, et il secoua la tête pour chasser ses pensées idiotes : Il réfléchissait trop. Quand la serveuse lui tendit sa commande, il lui sourit chaleureusement et lui offrit, en plus du prix, un bon pourboire. Elle le remercia en souriant et s'éloigna de sa démarche légère, ne semblant qu'effleurer le sol.
Aorton bu rapidement sa boisson et sortit de la taverne. Il était tard et sa femme ne saurait encore l'accueillir chaleureusement.

Profil psychologique :

Jour 1, arrivée à Almare.

Je commence ce journal au tout premier jour de ma nouvelle vie, comme un symbole d’espérance et un regard nostalgique vers le passé. J'espère sans cesse pouvoir un jour affirmer mon entière indépendance : Trouver enfin dans les yeux des gens le respect, et dans ceux des ennemis la craintes.
Je ne sais pas si je suis prête. Je ne sais pas si je suis … Idéale pour cette vie de grands chemins. Je suis peut-être un peu naïve pour ce monde et tous les autres qui pourraient exister, mais ma détermination est semblable à un bloc de métal : Inébranlable et impassible. J'aime mon travail et j'aime la compagnie des ivrognes de la ville. J'aime entendre leur complaintes et savoir qu'ici, nous pouvons leur être d'un certain réconfort. Je suis patiente et à l'écoute. Je tâche d'être douce et compréhensive. Pourtant aujourd'hui je ressens un nouveau feu qui brûle en moi, une adrénaline sans limite. Je veux changer de vie : Être mercenaire est pour moi un objectif principal et pour cela je suis déterminée à écraser comme de lamentables insectes tous ceux qui tenteraient de se dresser sur mon chemin. Je trancherai des gorges de mes lames et j’écraserai des crânes de mes pieds si cela me permet enfin de me sentir en vie, véritablement.
Même si je doit souffrir, même si je dois subir les rires, les sarcasmes et les blessures, j'atteindrai mon but en conservant ce masque impassible de douceur et de joie.
Je suis, tel le roseau, flexible contre le vent mais difficile à briser. Je voudrait être celle qui surprendra le monde, et définitivement, je suis celle qui le fera.

Pouvoirs et capacités

Pouvoir(s) :
Métamorphose niveau 1 (300xp)
Arts martiaux niveau 1 (100 xp)

Capacité(s) :
Capacité médicomancie (100 xp)
= 500xp

Équipement :
Deux katanas courts aux lames parsemées de filaments rouges

Histoire

Histoire :

Jour 2, Almare.

Il fait un temps à ne pas mettre un orc dehors aujourd'hui, je n'ai pas grand-chose à faire. J'en profite donc pour prendre ma plume et écrire ces quelques lignes dans mon journal afin d'évoquer un passé encore pas si lointain et me remémorer ma vie telle qu'elle fut jusqu'ici.
Je m'appelle Evalore Iselith Andraste, fille de Xénon Andraste et Iselith Joysword et je suis une Isvienne. Je suis née au temps des moissons d'été dans un foyer accueillant et chaleureux, dont le souvenir me laisse si souvent nostalgique. Nous habitions un petit village perdu quelque part dans les plaines d'Arklanne, ce genre de petite bourgade où tout le monde est voisin et se connaît. J'ai très vite compris que j'étais en quelque sorte « différente », peut être de part mon physique, mais surtout à travers le regard des gens : Les enfants n'osaient m'inclurent dans leurs jeux, et certains parents n'avait de cesse d'entretenir une vague réputation étrange de moi. A vrai dire je m'en moquais et m'en accommodait fort bien, me faisant finalement des amis comme tous les enfants de mon village. Mon enfance a donc été aussi paisible qu'elle aurait pu être en ce monde, et je vécu heureuse entourée de mes parents.
J'aimais, et j'aime encore aujourd'hui, profondément ma mère et nous étions extrêmement proches durant toute mon enfance. Quant à mon père.. que dire ? A vrai dire je le voyais peu. Il partait souvent des semaines, des mois parfois, pour une raison qui m'était alors inconnue, nous laissant sous la bonne garde de mon oncle qui habitait aussi dans le village.
C'est comme ça que j’entrai dans ma 20ème année, commençant à affectionner les arts du combat et de la magie, ce qui n'avait eu de cesse d'effrayer ma pauvre mère. Je jouais comme un homme à des jeux de combats avec mes amis d'enfance, qui pour la plupart étaient devenus des hommes forts et courageux, alors que je n'avais que peu de contacts avec les filles avec qui j’avais grandi. J'apprenais également au contact d'un sage, qui résidait depuis quelques temps au village, les rudiments de la métamorphose, un art qui me passionnait.
Puis, un beau jour, mon père rentra à la maison plus fatigué et exténué que jamais. Je me souviens encore comment j'allais le voir et m'enquérir de sa bonne santé, quand il me pris dans ses bras...

**
- Comment te sens tu, papa ? Je suis heureuse que tu sois de retour parmi nous. Tu as pourtant l'air soucieux.
- Tu grandis tellement vite Eva, je m'en veut parfois de partir si longtemps... Les affaires ne vont pas aussi bien que je le souhaiterai, tu sais parfois on est impuissant face à l'adversité.
- Explique moi je t'en prie, peut-être pourrais-je t'aider ?
Il rit doucement.
- J'en doute malheureusement Evalore, ce ne sont pas des choses qui sont de ton ressort.
Je l'encourageais alors du regard à m'en dire plus.
- J'ai eu quelques soucis à Almare et j'évite donc de m'y aventurer pour l'instant. Mais j'ai un travail à y effectuer, et je n'ai personne qui soit en mesure de m'aider pour l'instant.
- Tu cherches à engager quelqu'un ?
- Je t'en ai déjà trop dit ma fille, ces soucis ne sont pas les tiens.

**

Je devait n'apprendre que plus tard que mon père était en fait un mercenaire de la Guilde des Al'Drëchonn, ce qui expliquait ses voyages incessants, et qu'il était recherché pour meurtre dans la cité d'Almare. Il n'avait alors pas d'autres choix que de se terrer ici et de se faire oublier, en espérant ne pas se faire attraper.
Insouciante, je décidai aussitôt après cette conversation que je devais l'aider. Je me mis donc à écrire une longue lettre venant d'un certain Vikam, détaillant une longue liste de compétences diverses et variées et une motivation à accomplir n'importe quel type de mission, sous n'importe quels ordres. Je comprends aujourd'hui dans quel état de détresse était mon père pour accepter d'engager un parfait inconnu, en apparence un peu sûr de lui. Mais il le fit.
Nous nous rencontrâmes deux jours après, à quelques lieues du village. J'avais emballé mon corps frêle dans une couche de vêtements phénoménale afin de laisser penser que j'avais une forte carrure, et j'avais réussi à modifier les traits de mon visage afin de les rendre bruts et masculins (mon premier exploit dans mon apprentissage de la métamorphose, chose dont je n'étais pas peu fière mais qui m'avait complètement vidée de mon énergie). Mes cheveux étaient dissimulés sous un immense turban et je modifiais ma voix, avec un certain talent, rendant le camouflage excellent. Je restais cependant cachée le plus possible dans l'ombre, afin d'éviter tout risque. Il mordit à l'hameçon, et ce fut le début de ma passion pour l'art de la dissimulation et du camouflage.
Il me confia, comme il me l'avait dit, une mission à Almare. J'avais une adresse et devait m'y rendre afin de dérober des documents hautement confidentiels pour le compte de la Guilde Al'Drëchonn. Ce nom me fit un peu peur, je dois le dire, mais il renforça ma détermination : Je voulais réussir, coûte que coûte.
Je ne détaillerai pas ici la mission que j’accomplis alors, car tout se déroula sans accros. J'utilisais avec parcimonie la métamorphose et n'eut même pas besoin de mettre en application ce que je savais du combat. J’avais pourtant acheté deux petits katanas pour l'occasion, mais n'eut même pas à m'en servir. Je m'étais cachée, vive et furtive comme le vent. L'opération fut un succès total et je ramenais les documents à mon père, fière comme un paon. J'eus tout de même une chance folle, il faut l'admettre, mais j'avais alors agis comme une vraie mercenaire et y avais pris goût. C'est d'ailleurs pour ça que je suis ici aujourd'hui. Quant aux documents... Je ne peux pas dire que je n'ai été tentée d'y jeter un coup d’œil, mais me suis implacablement résolue à les fourrer dans mon sac et à ne plus y toucher jusqu'à ce que vienne le moment de les remettre à mon père. Ils m'intriguèrent cependant, et m'intriguent encore aujourd’hui : Le seul mot énigmatique étant inscrit sur la couverture était « Prismaura ». A l'époque, je ne savais fichtrement pas ce que c'était, et je l'ignore encore aujourd'hui. Je sais juste que ça existe, et ça ma tout l'air d'être un secret mondialement bien gardé. Je veux savoir. Je ne suis pas curieuse pour rien : Je découvrirai ce qui se cache derrière ce mot.
Après avoir rendu les documents à mon père, il disparu à nouveau dans la nature. Quant à moi, cette petite escapade avait fait exploser mon envie d'aventure et je décidai de quitter le village, et par la même occasion ma pauvre mère, pour aller m'établir définitivement à Almare. Je souhaitai depuis le moment où j'avais accompli cette mission devenir à mon tour une mercenaire reconnue et peut être un jour, qui sait, intégrer une Guilde telle que celle des Al'Drëchonn. Dans son chagrin, ma mère me donna un peu d'argent qui me permit d'acquérir un petit appartement à Almare et de pouvoir vivre à peut près décemment. Je n'attends que de pouvoir tirer des revenus et des avantages de mes futures missions, quelles qu'elles soient, mais pour l'instant je n'ai pas grand-chose à me mettre sous le dent mis à part quelques vols sans grande importance. Je travaille donc comme serveuse dans une taverne de la ville, ce qui me permet parfois de rentrer en contact avec d'éventuels recruteurs, ou tout du moins d'essayer de me faire connaître et d'imposer mon nom.
Je suis Evalore et je n'ai que faire des guerres incessantes qui agitent ce Monde. Je suis jeune et indépendante. Plus tard, je serais indispensable et respectée.

Eva.

Autre

Comment avez-vous connu le forum ? :
Par Haziel qui fait de la publicité Facebook =D
Codes de validation :

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Très cher Evalore Andraste, en tant que Maître Absolu de ce forum, et en vertu des pouvoirs que je me suis moi-même conféré, j'ai l'immense honneur de t'annoncer qu'Akiane Bel Iblis, architecte d'Arlunne, valide ta fiche, et je m'empresse de t'ouvrir les portes de ce monde afin d'y vivre toutes les plus belles aventures que tu peux souhaiter. Mais n'oublie pas, je serais toujours là, pour te rappeler qu'ici, je suis le Maître ...

Une précision toutefois : N'oublie jamais que les isviens sont vus plus que comme des êtres à part : la plupart doivent cacher leur différence au risque de perdre la vie. Il est risqué et dangereux d'être une symbole de l'ancien régime. Bonne chance Wink

Amuse toi bien ma louloute.

Alpha

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