Kalet Bernhard, le berserker maudit.

Kalet Bernhard

Nom : Brenhard
Prénom : Kalet
Surnom : Le berserker maudit ou l'esclave dément
Sexe : Masculin
Âge : 24 ans
Statut : Célibataire
Race : Humain
Sexualité : Effrayé par les femmes et désintéressé des hommes il est impossible d'affirmer ce point. A noter que toute personne ayant détourné la chose pour sous entendre des déviances s'en sont rarement remis.
Taille : 1m82
Pays/Région/Ville d'origine(s) : Village d'Estren, les montagnes rougeoyantes
Titre/Métier : Guerrier errant (certains le désignent mercenaire, mais il en a horreur)
Domicile : La route et les champs de bataille
Description physique : ... Pour être honnête l'allure générique Kalet est tout simplement typique, voir archétypé du combattant de niveau moyen. Un peu plus grand que la moyenne il s'est forgé un corps musculeux à l'aide du métier des armes, et s'il est un peu sec, et de fait loin des colosses qu'on imagine en pilier de bar, il n'est pas difficile de deviner la musculature qui est sienne, en particulier lorsqu'il exécute un mouvement d'épaule. Comme tout guerrier ayant commis forcément commis des erreurs ils arbore quelques cicatrices à son visage et nombreuses sont celles qu'il peut laisser apercevoir sur ses mains et ses poignets, on notera sur ces derniers la marque qu'ont laissés des chaines ayant profondément entaillées sa peau, quand il retire ses gants. Il est dès lors aisé de deviner qu'il est également couturé de nombreuses marques sur tout son corps, mais parmi elles il en est une assez impressionnante et assez distinctive, les restes d'une entaille marquant profondément sa peau de l'épaule droite au côté gauche de l'aine, néanmoins ce n'est pas tous qui peuvent l'apercevoir, car exceptés les frères d'arme occasionnels qui en ont forcément vu d'autre et n'en ait cure, rares sont ceux qui aperçoivent Kalet torse nu. Enfin pour parachever ce portrait de guerrier il est nécessaire d'évoquer sa gestuelle rapide, où il use du moins de mouvement possible et de sa démarche particulière, qu'ont tout les hommes arborant l'épée au flanc de manière courante, phénomène d'autant plus marqué qu'à sa ceinture sont accrochées deux lames. Quoiqu'il en soit, si sa silhouette peut faire rêver les enfants, les gens plus matures ne sont quant à eux nullement impressionné par un énième guerrier, insignifiant en comparaison de la garde ou des mercenaires Al'drëchonn et enfin les autres hommes d'armes lisent comme dans un livre ouvert dans les mouvements de ce jeune homme, et pour peu qu'ils s'y connaissent réellement ils peuvent juger avec aisance son niveau, qui est correct, mais n'évoque l’intérêt d'autrui seulement au cas où il lui manque des bras et qu'il n'a pas le temps d'en trouver des plus forts. Pour en finir avec son corps ce dernier est toujours revêtu d'une tunique de et de chausses de lins surmontés d'une armure un peu disparate composé du cuir d'un lion des neiges. Concernant son visage, outre les cicatrices qui y sont présent, on peut noter un nez droit, chose surprenante, et une barbe de quelques jours qu'ils rasent régulièrement et imparfaitement avec la lame d'un couteau. Ses yeux marrons, surmontés par des sourcils clairsemés, sont souvent une expression sévère,même quand il n'y a pas lieu à cela. Ses cheveux d'un bruns banals sont coupé court pour ne laisser aucune prise à ses ennemis. Enfin, dernier détail, mais non des moindres, est l'apparence dur et abrupte de ses traits qui laissent à penser qu'ils les laissent plus souvent se déformer sous la rage du combat que les laisser s'adonner à un sourire;
Profil psychologique : Le coupable et la victime. Kalet à connu ces deux facettes. Cela aurait sans doute pu l'amener à philosopher ou tout du moins réfléchir sur la condition humaine, au lieu de cela il n'y a songé qu'à son échelle et cela l'a amené à développé la vision pragmatique qu'il a aujourd'hui. Il fera tout ce qui doit être fait pour que ce qui lui parait nécessaire s'accomplisse, qu'il s'agisse de tuer des enfants ou de torturer des femmes cela ne le dérange pas et il n'en éprouve pas de remords s'il a la certitude que c'était une nécessité. Cependant s'il n'a pas de regret il connait lui même la souffrance il n'en veut pas et comprend ce qui chercherait à se venger de lui, mais s'il les respecte ce n'est pas pour autant qu'il se laisserait tuer. Certaines personnes l'ont interrogés sur la raison pour laquelle il faisait cela tout en pensant ainsi, sa réponse est invariable. Il est un bourreau et il en a conscience, mais il de ces hommes qui agissent derrière les grands ou les gens influents, soulignant leur gloire et leurs actions bienveillantes en exécutant les actes nécessaire à l'accomplissement de leur bonne volonté mais qui entacherait l'image qu'ils renverraient à l'histoire, à noter qu'il souligne à chaque fois que c'est une image un peu arrogante puisqu'à ce jour il n'a jamais oeuvre dans le sillage d'un grand. les deux questions qu'on lui pose souvent ensuite sont: Est ce que dans ce cas se voir il comme un assassin oeuvrant dans l'ombre et quel gain cela lui apportait. Sa réponse à la première question est tout simplement non, la différence entre lui et un meurtrier de l'ombre est qu'il assume pleinement ses actes et ne s'en cache pas. Quant à sa réaction à la seconde interrogation récurrente il est plus virulents, principalement parce qu'il ne fiat nullement cela par appât du gain et qu'agir tout bonnement pour l'argent lui parait ignominieux. Néanmoins il est bien forcé d'admettre que la monnaie est nécessaire dans bien des situations et de fait il préférera le survivalisme au respect strict de ses convictions empochant l'argent qui lui est donné et dépouillant tant que possibles les corps de ses adversaires pour en retirer ce qu'il peut. cela ne retire cependant rien au fait que s'il accomplit une tâche ce ne sera pas par appât du gain, mais parce qu'il la considère "nécessaire" et il ne changera pas de camps sans raison solide, il est par ailleurs trop frustre pour être à même d'être un agent double. Il ne laissera rien le détourner de sa tâche, ni l'alcool, ni la jeu, ni les femmes... Surtout les femmes dont il a une certaine peur, peur qui disparaît s'il doit en affronter une, la voyant juste tel un opposant comme un autre. Tout cela ne l'empêche pas pour autant, s'il na nul tâche, d'être un bon vivant, pouvant rire des blagues graveleuses des pires bouges ou des déboires d'un alcoolique. Ainsi pour résumer c'est un individu, craignant les femmes, d'une franchise confondante, que-ce soit dans ses dires ou dans ses actes et il est prêt à commettre n'importe quoi si c'est pour un but qui lui parait juste, il est par ailleurs relativement aisé de le manipuler, non pas qu'il soit idiot, mais n'ayant pas les moyens de vérifier ce qu'on lui dit il croira le premier venu s'il ne bénéficie d'aucune information bien particulière.

Il est à noter que tout cette description s'applique seulement à Kalet dans son état normal,car il en possède un second, en dehors de l'état de berserker qui lui fait perdre le contrôle de lui même mais accroît ses capacités physiques, et qui survient juste après cette transe martiale, une fois l'adrénaline retombée une malédiction plonge Kalet dans une terreur ou un hébétude indescriptible durant lequel il est tétanisé et balbutie des suite de mots compréhensibles de mots, du peu qu'on peut en comprendre il ressent à ce moment tout les remords vis à vis de ce qu'il a pu commettre et dont il fait habituellement fi au jour le jour, en plus de quelques visions de cauchemars, il est à cet instant extrêmement fragile, d'où le fait qu'il n'entrera dans un état berserker uniquement en dernier recours, bien que cela ne soit pas suffisant pour qu'il arrête de battre et tente ainsi de limiter le flot devisions qui surviennent à chaque utilisation du berserker.
Pouvoir(s) : En plus de ses talents à l'épée équivalent ceux d'un garde normale, et du fait qu'il ne craint nullement de tuer son opposant quel qu'il soit, ce qui accroît sa dangerosité Kalet maîtrise l'état du berserker,qui lui permet d’accroître son adrénaline au possible, et au travers d'elle ses capacités physiques. Il en subit les habituels désagrément en plus du "retour de flammes" évoqué ci dessus.
Équipement : Une armure en cuir de lion des neiges incomplètes, comprenant seulement les gants, la cuirasse, les jambières et les bottes, ce qui laisse ses articulations, son cou et ses bras exposés, deux épées liées par une chaîne d'esclavagiste, du matériel pour entretenir son arme et son armure, des vivres et une bourse contenant présentement dix Shoüris d'argent
Histoire : Kalet et né il y a de cela environs 24 ans dans les sommets enneigés des montagnes rougeoyantes, au petit village d'Estren, assujetti au royaume d'Almarie. De fait comme bien des membre de ce royaume humain son père et bon nombre d'hommes du villages avaient reçus un entrainement eau combat au moins rudimentaire, mais plus encore. Dans ces terres rongées par le froid afin de faire face au menace qui pesaient sur eux et contre lesquels les hommes du roi ne pouvaient intervenir les habitants du village d'Estren avait apprit à maîtriser l'état de berserker et rares étaient ceux à ne pouvoir le dominer dans le village. Comparée aux menaces extérieures c’était un petit rien, mais un rien qui suffisait à se tailler une place dans ces terres et à pouvoir en profiter sans être inquiété en plus du folklore du lieu devenu ainsi quelque peu prestigieux et reconnu, bien qu'il ne soit pas le seul à avoir cette coutume, qui n'entachait cependant en rien leur obéissance au roi d'Almarie, malgré leur distance vis à vis du pouvoir royal. C'est donc dans cette ambiance mêlée de respect à une autorité humaine et de la maîtrise des pulsions bestiales de l'homme que Kalet vit le jour, délivrant sa mère Amelya d'un fardeau de neuf mois qui lui offrait à ses yeux le plus splendide des présents, son premier Fils avec Olric la figure de proue du village, qui faisaient office d'autorité dans les affaires où la royauté n'avait pas cours.

Huit années s'écoulèrent alors durant lesquelles l'enfant, en plus d'un petit frère du nom de Siegfried dont il était de quatre ans l’aîné, reçut une éducation rudimentaire, où il apprit à lire écrire, compter ainsi que les premiers rudiments du combat, bien qu'il faudrait encore attendre bien des années avant qu'il ne soit au courant des premiers secrets des berserkers. Cependant au cours de sa huitième année les hommes étaient partis pour une grande chasse dans la foret environnante, comme ils le faisaient toujours à cette période de l'année, mais des pillards, menés par un sorcier, en profitèrent pour assaillir le village. Cependant il ne tuèrent personne, ni femme, ni vieillards ni enfants et ne prirent aucun objet. Ils ne venaient pour la valeur des biens des habitants de ces lieux, ils venaient pour ces derniers. Ils leurs attachèrent des longues chaines aux mains, aux poignets et aux cous et après qu'ils aient récupérer tout les habitant inoffensifs de ce village il partirent avant que les hommes ne reviennent. Pour Kalet qui protégeait tant bien que mal son petit frère dont il était très proche l'expérience fut des plus éprouvantes, son jeune âge ne lui permettant pas de subir le froid, les privations qu'ils vécurent, les maltraitances des pillards, sans compter ce qu'ils pouvaient faire pour eux en échange d'un peu de considération à l'égard de Siegfried, à noter qu'il a toujours tu à ce jour ce passage de sa vie... Et pourtant il survécut, et parvint à sauver également son jeune frère dont sa mère n’était plus capable de s'occuper, en premier lieu parce qu'elle était perturbée par ce qui était advenu, ensuite parce qu'elle faisait partie des nombreux morts que causa cette marche forcée dans des conditions atroce et un dénuement important. Cependant à l'aube du troisième jour, alors qu'ils approchaient du col qui les mènerait en dehors des montagnes où attendait un chariot ce fut une véritable meute d'hommes en arme surpris les flancs des pillards, il s'agissait de ceux dont les femmes et les enfants avaient été pris par ces odieux individus, et tous s'étaient plongés dans une transe berserker, se battant ainsi avec une férocité et une ardeur qui ne laissait aucune chance aux pillards mal équipés et piètrement organisés. Au final ils finirent par fuir, laissant une douzaine des leurs derrière eux, sans avoir réussi à tuer plus d'un de ses hommes que la douleur ne faisait pas reculer. Une fois que leur furie se fut apaisée ce fut l'heure des retrouvailles et des pleurs à l'égard des disparus. Pendant ce temps alors que les pillards commençaient à fuir, leur sorcier qui avait été gravement blessée s'était approché de Kalet et le fixant droit dans les yeux, prononça des mots dans un dialecte incompréhensible avant de s'effondrer, mort... De cela Kalet n'en a guère de souvenir, perturbé qu'il était il s'était contenté de venir vers son père et de lui confier son jeune frère qui semblait n’avoir rien compris de ce qui s'était passé et n'en fut pas marqué par la suite, au contraire de Kalet dont l'épisode fut gravé au fer rouge dans sa mémoire, d'autant plus au vu des explications que lui donna son père... Que sa mère était morte à cause d'individus sans scrupules oeuvrant seulement pour l'argent, ce qui l'amena à déprécier profondément ce dernier malgré sa nécessité.

... Malgré la mort de sa femme Olrick parvint à éduquer ses enfants, mais s’ils continuaient à destiner Kalet à la voix guerrière il avait préféré au vu de ses affinités et de son comportement plus doux le dédié à la vocation de scalde ce qui fut à la grande joie de Siegfried. Dix autres années s'écoulèrent sans anicroches jusqu'à ce que, sous la surveillance d'homme chevronnées Kalet ingère une substance qui faciliterait la transe à l'état berserk. Le jeune homme passa l'épreuve avec succès, résistant dans un premier temps au breuvages qui pouvait avoir raison des constitutions les plus faibles, puis parvenant dans un second temps à terrasser un lion des neiges avec un pieu pour seul arme, lion des neiges dont il usa plus tard du cuir pour composer son armure, mais ce fut à la fin que tout se compliqua, quand sa "concentration"cessa il tomba à genoux, poussant un long cri de dément qui laissa toutes les personnes présentes dans l'incompréhensions. Kalet se mit à se débattre violemment, gesticulant et hurlant, et il fallut pas moins de trois hommes pour l'immobiliser totalement jusqu'à ce qu'il ait récupérer ses esprits. Face à ce phénomène nouveau on fit venir un chaman qui examina le jeune homme. Son diagnostique était sans appel, il était maudit et un autre esprit, à l'état embryonnaire, s'était insinué dans le corps de Kalet, causant ces curieuses réactions suite à la transe berserker. Tous ignorant l'acte du sorcier des pillards et Kalet l'ayant oublié on ne vit aucune explication à cela, mais en tout cas ce fut suffisant pour que malgré le prestige de son père le jeune homme soit mal perçu dans le village et il ne fallut pas longtemps pour qu'il soit accusé de porter le mauvais oeil... C'est à ce moment là que Kalet qui avait alors une vision un peu manichéenne se rendit compte de la complexité réelle de la condition humains et de ce qui, à ses yeux, il convenait de faire face à cela, cependant il mit du temps à se décider, trop de temps et il en paya le prix fort.

Quelque mois après s'être forgé ses propres lames, qui avait unis par la chaine qui l'avait asservi et que son père avait conservé, afin d'arborer son histoire telle une bannière pour ne pas l'oublier il survint un évènement dramatique. Son frère s'était éloigné du village avec sa lyre pour composer quelques chants, mais des jeunes hommes l’avaient suivis et si Kalet était surveillés par son père au vu des menaces proférés à son égard de par sa malédiction il n'en allait pas de même pour le cadet qu'il croyait, à tort en sécurité. C'est ainsi qu'une fois que la lune fut tombée il ne revint pas. Inquiet Olric envoya Kalet, malgré les risques qu'il courrait, le chercher. Ce fut pour trouver le corps de son frère tuméfié et disloqué par des coups de gourdins brutaux, mais le pire de tout était qu'il vivaient encore, souffrant à chaque instant. Quand son frères'approcha il le regarda du seul oeil qui semblait encore fonctionner et à son regard Kalet sut ce qu'il avait à faire pour le bien de son frère... Ce fut son premier meurtre et il ne revint jamais au village, conscient que les assassins de Siegfried y demeuraient et qu'il ne pourrait rien y faire... Au moins épargnerait il à son père d’autres déboires.

C'est ainsi qu'un an plus tard après avoir un peu arpenté les montagnes rougeoyantes accomplissant des petits services de ci de là pour survivre, bien souvent par les armes, jusqu'à ce qu'il ait assez d'argent pour entreprendre un voyage l'amenant à s'enfoncer dans les terres d'Almarie. Une fois arrivé ce trajet effectué rien n’avait vraiment changé pour lui, les visions suivant l'état berserker demeuraient et les gens voyaient cela d'un mauvais oeil, mais au moins ne s'agissaient il que d'inconnus et non de gens avec qui il avait grandi, ça rendait la chose plus supportable... Puis il l'oublia petit à petit durant les cinq années où il louait son épée pour les causes qui lui semblait justes, mais agissant pour cela de manière extrême afin qu'elle soit accompli à la perfection et de fait bien souvent chaque flot devisions était pire que la précédente, ce qui ne l’empêche pas aujourd'hui de persister dans cette voie.
Comment avez-vous connu le forum ? : Grâce à une connaissance dont je tairai l'identité à moins qu'elle ne se dévoile d'elle même :p
Codes de validation :
Ok by Haziel

Berzerker = 300 xp's
Il te reste donc présentement 200 xp's.

Bon, comme dit sur la ChatBox, Schallamas n'appartient pas à l'Almarie.
Si tu veux appartenir à l'Almarie et ne pas trop changer ton histoire, je te conseil de venir d'un village proche de la Montagne Rougeoyante Smile

.
Si tu souhaites vraiment venir de Schallamas, sache que c'est un pays remplit de mage et que cette île appartient dans son entièreté à la CIME, donc ce serait compliqué d'y placer une histoire comme la tienne =/.

Après tu fais comme tu veux, mais je réitère mon conseil: Venir d'un village situé DANS les montagnes rougeoyantes, en Almarie afin de n'avoir que très peu de choses à changer.

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Très cher Kalet Bernahrd, en tant que Maître Absolu de ce forum, et en vertue des pouvoirs que je me suis moi-même conféré, j'ai l'immense honneur de t'annoncer qu'Haziel D.Crow, architecte d'Arlunne, valide ta fiche, et je m'empresse de t'ouvrir les portes de ce monde afin d'y vivre toutes les plus belles aventures que tu peux souhaiter. Mais n'oublie pas, je serais toujours là, pour te rappeler qu'ici, je suis le Maître ...

La voie du guerrier est longue et semée d'embuche, fais tout ton possible pour parvenir à tes fins et te relever quelque soit l'obstacle qui stoppera ton avancée.

Amuse toi bien mon loulou.

Alpha

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